Edito

Ces faibles résultats en 2010 (1) sont quasiment identiques à ceux de 1995 (2) malgré de fortes avancées et le développement d’organisations, d’innovations et de connaissances dans le domaine de la douleur.

La douleur cancéreuse, chez des patients en rémission ou non, justifie des prises en charge spécifiques et complexes entre le domicile et l’hôpital. A titre d’exemple :

- Les accès paroxystiques et les douleurs exacerbées, ou même les arthralgies post hormonothérapie, nécessitent une analyse attentive et des prescriptions anticipées et comprises ;
- Les douleurs osseuses peuvent être soulagées par des cimentoplasties, requérant les compétences de neurochirurgiens ;

Lire la suite

Dr Evelyne Renault Tessier
Secrétaire d’AVH LCD
Institut Curie, Paris 5ème